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Korrigan
30/03/2008 20:20
Le mot korrigan (du breton korr, nain, suivi du diminutif ig et du suffixe an) signifie « petit nain ». Pluriel breton : Korriganed. Au féminin, on trouve parfois une forme féminisée à la manière française "korrigane". Les préfixes corr (littérature galloise) et cor (ancien cornique) désignent tous deux un nain.
parfois gentils parfois méchants, ça dépend de notre humeur.
Les korrigans, parfois aussi appelés poulpiquets sont des esprits prenant l'apparence de nains dans la tradition celtique et en particulier bretonne. Bienveillants ou malveillants selon les cas, leur apparence est variée. Par exemple ils sont dotés d'une magnifique chevelure et d'yeux rouges lumineux, à l'aide desquels ils peuvent ensorceler les mortels. Ils hantent les sources et les fontaines.
attention à leurs pièges!
Au Moyen Âge, on leur attribue avec terreur les ronds de sorcières qu'on trouve parfois sur les prés ou dans le sous-bois. On dit qu'ils y font cercle pour danser à la tombée du jour. Au mortel qui les dérange, il arrive qu'ils proposent des défis qui peuvent se transformer en pièges mortels menant tout droit en enfer ou dans une prison sous terre sans espoir de délivrance. Dans la nuit du 31 octobre, on prétend qu'ils sévissent à proximité des dolmens, prêts à entraîner leurs victimes dans le monde souterrain pour venger les morts des méfaits des vivants.
on peut aussi trouver leurs trésor à minuit lorsque les dolmens vont boire.
attention il faut vite remonter avant qu'ils reprennent leurs place.
alors si ça vous tente ! à vous de voir, à vos risques et périls.
Cette tradition les rattache à la non moins celtique Halloween.
la résistance
Parfois aussi, ils symbolisent la résistance de la Bretagne à la christianisation et on leur prête alors des facéties nocturnes au voisinage des églises prenant spécialement les prêtres pour cibles.
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La Faucheuse et l'Ankou
30/03/2008 20:16
la faucheuse
La Faucheuse est une allégorie de la mort, symbolisée par un personnage énigmatique ou un squelette capé portant une faux à la main. Ce symbole d'origine italienne est très présent au Moyen Âge et à la Renaissance dans les peintures apocalyptiques et macabres comme celle de Pieter Bruegel l'Ancien (Le Triomphe de la Mort). À une époque où la peste noire fait des ravages, la Faucheuse représente un être terrifiant qui vient happer les vivants d'un coup de lame.
l'Ankou
Personnage revenant souvent dans la tradition orale et les contes bretons, l'Ankou (an Ankoù) est la personnification de la Mort en Basse-Bretagne.
Il ne représente pas la Mort en elle-même, mais son serviteur : son rôle est de collecter dans sa charrette grinçante (karr an Ankoù, karrigell an Ankoù) les âmes des défunts récents. Lorsqu'un vivant entend le bruit de la charrette, c'est qu'il ne va pas tarder à passer de vie à trépas. On dit aussi que celui qui aperçoit l'Ankou meurt dans l'année.
Graphiquement il est représenté comme un être sans âge, d'aspect non distinct puisque couvert par une cape, souvent noire. Il est armé d'une faux dont la lame est orientée vers l'extérieur. Contrairement aux représentations squelettiques de la Mort, l'Ankou est un être de chair, puisqu'il a été homme un jour. En effet, la légende précise que le dernier mort de l'année devient l'Ankou pour l'année suivante. Ainsi l'Ankou est un être mouvant, un relais que se passent chaque année les derniers défunts de décembre.
Dans la mythologie irlandaise, l'équivalent de l'Ankou semble être le Dullahan. Il n'est pas exactement pareil, mais a de nombreux points en commun.
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Incube et Succube
30/03/2008 19:47
Succube
Un ou une succube (mot masculin mais utilisé également au féminin, du latin classique suc, « sous », et cubare, « coucher », donc « qui couche sous ») est un démon qui prend la forme d'une femme pour séduire un homme durant son sommeil; elles servent Lilith et ont pour mode d'action la séduction des hommes. Son pendant masculin est l'incube. Des légendes racontent que le ou la succube prendrait l'apparence d'une femme défunte et, faisant croire à la résurrection de celle-ci, s'accouple avec son bien aimé.
La principale croyance entourant ce démon dit que l'accouplement avec cette créature prend pour la victime l'apparence d'un songe ou d'un cauchemar
Incube
Un incube (du latin classique inc, « sur », et cubare, « coucher », donc « qui couche sur ») est un démon à l'apparence masculine qui abuse des femmes endormies. Son pendant féminin est le succube.
L'incube n'ayant pas de propre semence, a pour stratagème procréatif sa transformation en Succube, de "coucher" avec un homme pendant son sommeil afin de lui récolter sa semence et de la redistribuer en tant qu'Incube à une femme endormie. Les enfants (démoniaques) nés de cette liaison portent les noms de Kilcrops, Rocots ou "enfants changés"; ceux-ci, de maigre constitution, hurlent au simple toucher et rient diaboliquement à la survenue du moindre malheur.
on dit aussi que les succubes dégagent une odeur nauséabonde.
ils existent encore de nos jours des temoignage de personnes ayant été violées par un incube ou une succube.
dans la tradition chrétienne Merlin aurait été l'enfant d'un incube et d'une soeur.
c'est pour cela qu'il aurait le don de voir l'avenir et une intelligence extraordinaire.
moi je ne pense pas que merlin soit le fils d'un démon je préfère la version originale, celte.
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La manticore
30/03/2008 19:06
Le manticore est une créature fantastique ayant le corps d'un lion (parfois à la fourrure rouge), la tête d'un humain (souvent avec des cornes et des yeux bleus, pleine de dents et ayant une belle voix) et une queue de scorpion ou de dragon, qui peut lancer des dards venimeux pour immobiliser sa proie. Parfois, les manticores possèdent aussi des ailes de nature variable. Sa taille peut aller de celle d'un lion à celle d'un cheval.
La manticore est une mangeure d'hommes d'origine perse : son nom provient du persan martya, « homme », et xvar, « manger ».
D'après Ctesias, un médecin à la cour de Perse au Ve siècle, Aristote nous rapporte que la Manticore possède 3 rangées de dents à chaque machoire, sa taille et sa corpulence sont celles d'un lion adulte dont elle possède également la crinière fournie et les pattes. Son visage et ses oreilles par contre sont très proches de ceux d'un humain. Sa couleur, d'un rouge vermillon contraste avec la couleur de ses yeux qui sont bleus ou bleu-vert. Sa queue est pareille à celle d'un scorpion et un dard en termine le bout. Cette dernière est hérissée d'aiguilles que la Manticore à le pouvoir de décocher comme avec un arc.
Elle est aussi rapide qu'un cerf et d'une grande sauvagerie
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la combustion spontanée
30/03/2008 18:58
La combustion spontanée est un phénomène dit paranormal ou parapsychologique qui se produit lorsqu'une personne se consume sans raison apparente. Ce phénomène d'une extrême rareté est aussi appelé autocombustion ou combustion humaine.
Description
On parle de combustion spontanée lorsqu'un être humain brûle de l'intérieur sans qu'aucun élément extérieur soit en cause. En fait, tout ce qui se trouve hors du corps reste intact alors que le corps fini inévitablement en cendres. Les lieux du drame ne sont pas touchés. Même les vêtements en ressortent sans trop de dégâts. Ce mystère, ayant fait office d'enquêtes policières dans chacun des cas, est d'autant plus mystérieux que les os de la victime sont aussi détruits, ce qui n'est pas le cas des incendies ordinaires et nécessite une température atteignant 1650 degrés Celsius. De plus, seul les membres aux extrémités, soit les bras et les jambes, ne sont pas atteints.
Tout commence lorsque la future victime sent une odeur de brûlé sans pouvoir l'expliquer. Le reste du scénario demeure inconnu mais, selon certains, la personne entre en transe et ne réalise pas qu'elle est en train de brûler. Chose certaine, la combustion se fait à une grande vitesse, ne leur laissant pas le temps de réagir. Finalement, outre les cendres, la personne est retrouvée dans une position tout à fait normale : dans un lit ou assise sur un fauteuil.
Théories
Dans les cas connus, il a été révélé que les victimes de combustion spontanée étaient souvent des personnes âgées et seules ou de plus jeunes personnes suicidaires. Nombreux étaient aussi alcooliques. Selon certains chercheurs leur état de santé étant grandement affaibli ajouté à certains facteurs psychologiques (dépression, solitude) ainsi qu'un autre facteur découvert par des physiciens, soit une intensité importante du champ magnétique, pourrait être la cause du problème. Selon eux, il existerait une corrélation entre les cas de combustion spontanée et les pics du champ magnétique terrestre.
D'autres croient que l'embrasement serait dû à une cigarette qui aurait enflammé les vêtements ou à une trop grande approche du feu. Le défaut de cette théorie, c'est que même lorsqu'un corps est mis dans un four crématoire, il reste toujours des fragments d'os, ce qui n'est pas le cas des combustions spontanées.
De nombreuses tentatives d'explications de bouleversements physiologiques ont été mises en l'avant, mais rien n'a dépassé l'étape d'hypothèse. L'un des plus grands spécialistes, un dénommé John Heymer, ex-enquêteur de police, expliquerait le phénomène par un réaction entre l'hydrogène au niveau des cellules.
Cas connus:
Très peu de cas ont été recensés jusqu'à aujourd'hui :
Comtesse Cornelia Bandi : Le premier cas connu de l'histoire a lieu en Italie, près de Vérone, en 1731. Après avoir regagnée sa chambre à la suite d'un dîner, la comtesse de 62 ans est retrouvée en cendres (excepté les bras et les jambes), dans sa chambre remplie de suie.
Vieille dame de Caen : En 1782, une vieille dame est retrouvée en cendres.
Ginette Kazmierczak : Une mère de famille solitaire, à Uruffe, en 1977, dans un bourg lorrain, est retrouvée carbonisée dans sa chambre. Seul ses bras et ses jambes sont intacts.
En 1938, une jeune fille prend feu et meurt dans une salle de bal à Chelmsford en Angleterre.
En 1980, une jeune anglaise brûle dans une discothèque à Darlington.
Mary Reese : En Floride, une femme est retrouvée en cendres dans son appartement. Les experts ont évalué qu'une température de 2500 degrés Celsius pour une durée de 3 heures était nécessaire à une telle combustion. Des experts en pyromanie, des pathologistes et des agents du FBI n'ont pas trouvé d'explication.
Bailey : À Londres, en Angleterre, un pompier retrouve un sans abris nommé Bailey, en train de brûler au niveau de l'abdomen.
Patrick Rooney : À Noël 1885, un homme marié est retrouvé calciné dans sa cuisine.
George Turner : En 1958, en Angleterre, un homme dans son camion.
John Irving Bentley : un docteur de Couderprt, Pennsylvanie a été retrouvé en décembre 1966 en cendres, ayant fait un trou danz le plancher de sa salle de bain.
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