Entre ombres et lumières

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Créé le : 26/03/2008 18:56
Modifié : 18/10/2008 22:37

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[ magies ] [ correspondances ] [ mythes et légendes ] [ Débats ] [ News ésotérique ] [ prières ] [ fêtes ] [ Livres ]

les man in black

30/03/2008 18:52

les man in black


Men in Black est un terme collectif qui désigne une sorte de personnage du folklore ufologique des États-Unis. Les "Men in Black", qui peuvent parfois être de sexe féminin, se présentent seuls ou en groupe (le plus souvent un trio) au domicile du témoin d'un événement extraterrestre après un délai qui peut varier d'un jour à plusieurs mois. Le témoin les interprète tantôt comme des agents du gouvernement chargés d'étouffer l'affaire, tantôt comme des créatures non humaines (extraterrestres ou humanoïdes) aux objectifs mystérieux. Ils sont souvent vêtus de costumes (tailleurs pour les femmes) sombres ou gris, en général dans le style des années d'après-guerre quelque soit leur date d'apparition, comme d'ailleurs leurs voitures, lorsqu'ils en ont. Leur présence récurrente dans les récits de personnes prétendant avoir vu un OVNI ou rencontré un extraterrestre à poussé les ufologues américains à leur attribuer le nom collectif de "Men in Black". Ils ont inspiré des personnages d'extraterrestres au cinéma, ainsi que les héros de la bande dessinée Men in Black, elle-même à l'origine du célèbre film du même nom.

Origine et évolution

Le personnage du "Man in Black" semble prendre son origine peu après la Seconde Guerre mondiale dans un récit rapporté dans la presse et prouvé par la suite mensonger de rencontre avec des OVNIs, en juin 1947 à Maury Island près de Tacoma. Le protagoniste principal, Harold Dahl, prétendait avoir reçu le lendemain de la rencontre la visite d'un homme portant un costume noir semblable à celui des agents du gouvernement et conduisant une Buick neuve ; l'homme aurait exigé le silence sous peine de représailles. Par la suite, le MIB se représentera souvent dans les récits de témoins, tout en subissant une évolution intéressante :
Il apparaît généralement accompagné, le plus souvent de deux autres.
Une femme est parfois présente dans le groupe.
La date de la visite n'est pas automatiquement le lendemain de la "vision" ou de la "rencontre", mais peut avoir lieu plusieurs mois plus tard.
Le motif de la visite n'est souvent pas clairement exprimé. Les propos peuvent être sans rapport avec l'événement ou incohérents. En tout état de cause, le témoin reste certain que la visite est en rapport avec l'événement.
Souvent, jusqu'au début des années 1990, il porte des vêtements et conduit une voiture de la fin des années 1940, fait reconnu comme anachronique ou bizarre par les témoins.
Il est souvent interprété comme étant lui-même un extraterrestre, ou un humanoïde.





Monstre du Loch Ness

30/03/2008 18:48

Monstre du Loch Ness


Situé dans le Nord de l'Ecosse, près d'Inverness, le loch Ness est un lac paisible, d'une profondeur de plus de 200 mètres et long de 39 kilomètres. Rien ne l'aurait signalé à l'attention du public si ses eaux ne semblaient habitées par un animal aquatique.
On ne sait ni quand ni par qui fut observée la première de ces créatures lacustres. On raconte qu'en l'an 565, le missionnaire irlandais saint Colomba rencontra par hasard le long de la Ness une troupe de villageois qui ensevellissait la victime d'un monstre , une sorte de grenouille géante, sans être toutefois une grenouille. Depuis lors, on dénombre quelque 3000 observations du monstre, certaines imprécises, d'autres fort détaillées, qu'il ait été entrevu depuis les berges ou de canots, par toutes sortes de témoins, soit isolés, soit en groupes d'une vingtaine de personnes: fermiers et prêtres, pêcheurs policiers et même un prix Nobel de chimie, Richard Synge qui vit la bête en 1938. Des expéditions au coût faramineux s'emparèrent du Loch Ness. Quoi qu'il en soit, il reste encore au lac à restituer un vieil os, un bout de peau, ou tout autre témoignage incontestable de sa présence. Hormis les innombrables récits des témoins, il n'existe en réalité comme preuve qu'une série de photographies ou de films flous et équivoques.

d'autres pays

Le Loch Ness n'est pas le seul monstre lacustre qu'on a signalé. On en aurait observé dans les lacs de Scandinavie, d'Irlande, de Sibérie et d'Afrique. La bête du Loch Ness a au moins deux cousins en Amérique du Nord. habite le lac Champlain, situé entre l'État de New York et le Québec. On l'aurait vu plus de 200 fois et filmé une fois. Aux dires de certains, il se peut que Samuel de Champlain, explorateur français du XVIIe siècle, ait remarqué une mystérieuse créature dans le lac qui porte son nom. Et, en Colombie britannique, le lac Okanagan fut le théatre de la première échaffourée entre un être humain et un monstre lacustre.
Les apparitions de Nessie, selon le surnom donné au monstre au XXème siècle, sont signalées depuis les temps les plus reculés. Mais c'est un article paru dans un journal local de bonne réputation, l'Inverness Courier, le 2 mai 1933, qui attire sur la bête l'intérêt du public.
Le 8 mai suivant, dans un journal concurrent, le Northern Chronicle, est employée pour la première fois l'expression "monstre du loch Ness" sous laquelle l'animal devient célèbre et l'objet d'un véritable engouement du public: des caricatures le représentant fleurissent dans tous les hebdomadaires, tandis que les touristes affluent par centaines sur les rives du loch pour tenter de l'apercevoir ou de le capturer. A tel point que le commissaire d'Inverness se voit contraint de publier un arrêté afin de protéger le monstre et de prévenir le risque qu'il lui soit fait du mal.
Les témoignages des personnes ayant vu Nessie se multiplient (plusieurs milliers ont été répertoriés depuis) et permettent de dresser une sorte de portrait-robot de l'animal. Il a un tête reptilienne, un cou bien tendu hors de l'eau et de grands yeux brillants. Il possède aussi deux bosses, voire trois, sur le dos et une queue mobile qui créé de gros remous autour de lui. Beaucoup de témoins signalent également la vitesse à laquelle il se déplace, et quelques autres les cris perçants qu'il pousse parfois. Et est d'une nature plutôt farouche et paraît inoffensif. Il semble même quitter de temps en temps le lac puisqu'un étudiant en médecine, Arthur Grant, le croise sur la route bordant le loch un soir qu'il rentre chez lui en motocyclette. Il décrit comme un croisement hybride entre un plésiosaure, reptile préhistorique, et un phoque.

Nessie ? Un monstre photogénique

En 1933, un certain Hugh Gray prend la première photographie du monstre, à une distance de 800 mètres environ. Les techniciens de la firme Kodak, après analyse du cliché, affirment qu'il est authentique. À la suite de la publication de la photographie, un article du capitaine de corvette Rupert Could, venu sur place, récapitule les preuves de l'existence du monstre dans le très sérieux Times.
D'autres photographies de l'animal sont prises: l'une des plus remarquables date de 1934. Due à un médecin londonien, le colonel Robert Wilson, elle montre ce qui semble être la tête de la bête et un cou émergeant de l'eau. Puis en 1951, un bûcheron employé par la Commission forestière, Lachlan Stuart, photographie pour la première fois les bosses de Nessie seules visibles à la surface.
Le monstre est aussi filmé en 1933, puis en 1936, par un certain Malcom Irvine. Mais le document le plus célèbre est celui réalisé en 1960 par l'ingénieur en aéronautique Tim Dinsdale, qui a abandonné son métier pour se consacrer entièrement à la recherche de l'animal. On peut distinguer sur son film une bosse, d'un brun rougeâtre, qui traverse le loch puis tourne et longe la rive opposée. Les experts qui examinent la pellicule sont incapables de déceler un trucage, mais ils ne peuvent non plus expliquer la forme aperçue.
Dans l'ensemble, les scientifiques sollicités demeurent prudents et hésitent, par peur du ridicule, à se lancer dans des recherches poussées. L'adversaire le plus acharné du monstre, dans la période récente, est le professeur Maurice Burton, attaché au département d'histoire naturelle du British Museum: le même homme a cependant longtemps affirmé l'existence de l'animal avant de changer d'avis. À l'inverse, le zoologue hollandais Oudemans a consacré deux mémoires au monstre, concluant à son existence. Enfin, un Bureau d'investigation des phénomènes du loch Ness a été créé au début des années 60 pour enquêter sur la bête mystérieuse et examiner les divers témoignages.
La première photo du monstre, prise par Hugh Gray en 1933. Les spécialistes n'ont décelé aucun trucage.

Le secours du sonar

Ce Bureau ainsi que diverses personnalités intéressées par la recherche de Nessie n'ont pas hésité à faire appel aux techniques les plus modernes. Mais la topographie particulière du lac rend les investigations difficiles. Ainsi, en raison de la vase abondante qui recouvre le fond du loch, il n'a pas été possible d'utiliser avec efficacité des caméras sous-marines, et les plongeurs dépêchés n'ont rien pu distinguer. En outre, le manque de crédit a interdit la mise en service de sous-marins perfectionnés.
Pourtant, en 1972 puis 1975, des images rapportées par la caméra sous-marine mise au point par le professeur Edgerton, du Massachusetts Institute of Technology, ont été analysées par un institut spécialisé de la NASA: l'une d'elles a alors montré le cou et la partie supérieure du corps d'un grand animal de six mètres environ. Par ailleurs, en 1962 déjà, un microphone sous-marin a enregistré les bruits d'un animal heurtant le fond du lac et plusieurs tentatives réalisées à l'aide d'un sonar (système de détection acoustique sous-marine), dont celle du riche avocat d'affaires américain J. B. Rines, ont permis d'enregistrer des échos de gros objets se déplaçant sous l'eau. Pour les spécialistes du sonar, il ne fait aucun doute que ces enregistrements prouvent la présence d'animaux aquatiques de grande taille dans le loch Ness. La théorie selon laquelle il y aurait en fait plusieurs animaux s'appuie sur le fait que les apparitions de Nessie sont très anciennes (saint Colomban, moine irlandais, l'aurait déjà aperçu en 565) - donc qu'il y a eu plusieurs générations de monstres. Mais la nature exacte de ces bêtes reste un mystère complet.

Qui est Nessie ?

Parmi les nombreuses hypothèses avancées, beaucoup sont de pure fantaisie: oiseau aquatique, anguille géante, requin ou énorme limace de mer, autant d'animaux qui ne correspondent pas aux multiples observations.

Une thèse plus séduisante est celle du plésiosaure, reptile géant qui vivait il y a environ 70 millions d'années. Il est certain que les reproductions de Nessie ressemblent beaucoup aux vestiges de cet animal que l'on a retrouvés en Europe: il en serait ainsi un exceptionnel survivant. Des scientifiques contestent cette possibilité en se fondant sur le fait que ces animaux à sang froid n'auraient pu survivre dans les eaux du loch Ness, à basses températures. Mais des découvertes récentes semblent indiquer que les reptiles préhistoriques ont pu avoir le sang chaud.
Enfin, des spécialistes de la cryptozoologie penchent pour un animal proche de ceux classés sous le nom de "grand serpent de mer". Le zoologue hollandais Oudemans pense ainsi qu'il pourrait s'agir d'une espèce inconnue de pinnipède (mammifère tel le phoque ou le morse) à long cou. A moins que l'on ait affaire à une nouvelle espèce en voie de spécialisation, c'est-à-dire en cours de transformation, comme l'écrit le Dr Heuvelmans.





Le mythe du loup-garou

30/03/2008 18:44

Le mythe du loup-garou


Le mythe du loup-garou est très ancien et commun à de nombreux peuples européens. Du point de vue de la mythologie, le loup-garou a longtemps été indissociable du vampire, les deux étant en fait un seul et même monstre (le vampire historique n'a que peu à voir avec le vampire byronien, aristocrate et charmant). "On avait déjà les méchants stylés, les vampires, alors on a fait les méchants affreux, les loups-garous." (source).
Au Ve siècle av. J.-C., Hérodote parle d'une race d'hommes habitant les contrées des bords de la mer Noire et capables en tant que magiciens habiles de se métamorphoser à volonté en loups, puis de reprendre leur apparence humaine.
Dès cette époque il y avait une croyance au fait que des êtres humains anthropophages, par la pratique de la magie, prenaient l'apparence d'un loup pour satisfaire plus facilement leurs appétits monstrueux.
La mythologie grecque raconte que Latona, la mère d'Apollon, se protégeait de la colère d'Héra en se transformant en louve.
Ovide (-43-17), rapporte aussi que Lycaon, roi d'Arcadie et ses cinquante fils qui étaient réputés pour leur impiété, servirent parmi de nombreux plats à Zeus qui était venu leur rendre visite sous l'apparence d'un pauvre hère, un plat à base de chair humaine qui s'avèra être celle du plus jeune des fils. Ainsi il pourrait démasquer le Dieu des Dieux. Mais ce dernier, indigné, repoussa au loin la table du festin, foudroya tous les fils du roi, sauf Nyctimos, qui monta sur le trône et changea Lycaon en loup :
Ses vêtements se changent en poils, ses bras en jambes
devenu un loup il conserve encore des vestiges de son ancienne forme.
Il a toujours le même poil gris, le même air farouche, les mêmes yeux ardents ;
il est toujours l'image de la férocité.


Ovide, les Métamorphoses


Virgile en parle également dans sa huitième églogue, où il fait dire à Alphésibée : « J'ai vu Moeris se faire loup et s'enfoncer dans les bois ».
Pline le Jeune raconte la métamorphose d'un homme coupable en fuite qui, traversant à la nage les eaux d'un lac, est devenu un loup en arrivant sur la rive opposée.
Au Ier siècle, Arétée de Cappadoce explique que certains hommes qui se sentent transformés en loup sont travaillés par les appétits et les affres de cet animal féroce, se jettent sur les troupeaux et les hommes pour les dévorer, sortent la nuit de préférence, hantent les cimetières et les monuments, hurlant à la mort, avec une perpétuelle altération, les yeux enfoncés et hagards, ne voyant qu'obscurément comme s'il était entouré de ténèbres, les jambes meurtries par les égratignures et les morsures de chiens.
Les médecins latins connaissaient une maladie qu'ils nommaient insania lupina (folie louvière ou rage lupine).
De nombreuses autres légendes en Scandinavie, en Russie occidentale et en Europe centrale, font référence aux loups-garous. Les garous scandinaves ne sont par frappés du même ostracisme qu'ailleurs et, sans être ordinaire, le garou est plus ou moins accepté dans la société.
Au XIIe siècle, Guillaume de Palerme parle du Leu-Garou. De nombreux sorciers avaient à l'époque pris l'habitude de courir dans les champs, les nuits de pleine lune, munis de peaux de loup, afin d'effrayer les populations.
De la fin du Moyen-Âge et durant la Renaissance, en un peu plus de cent ans, on a enregistré, en France, près de 30 000 procès de loup-garous. Les populations rurales croyaient fortement à l'existence de ces « hommes loups » qui ravageaient les campagnes et s'attaquaient aux animaux comme aux être humains. En Europe, du XVe au XVIIIe siècle, près de 100 000 personnes ont été reconnues comme loup-garou et condamnées à être brûlées vives. Selon Collin de Plancy, des dizaines de milliers d'autres ont péri, sans autre forme de procès, lorsqu'un villageois était soupçonné d'être un loup-garou, il était attrapé et écorché vif, car la légende voulait que les poils se cachaient sous la peau.


Lors du XXe siècle, plusieurs affaires ont été liées au mythe du loup-garou :


l'affaire de la « bête de Sarlat », en Dordogne, jamais élucidée ;
l'affaire de la « bête de Senonges » dans les Vosges qui en 1994 égorgea plus de 80 animaux ;
l'affaire de la « bête du Valais », en Suisse, jamais élucidée ;
l'affaire de la « bête de Noth », en Suisse, jamais élucidée ;
Très récemment, le journal Courrier international du 6 novembre 2003 - n° 679, rapporte ces témoignages insolites tenus devant le tribunal criminel de Lausanne (Suisse) ou un homme est poursuivi pour avoir massacré son épouse à coups de couteau : « J'ai vu ses canines pousser. Elles dégageaient une odeur étrange. Comme celle d'un loup-garou ». L'accusé a conservé « un contact avec la réalité », indiqua de son côté l'expert psychiatrique.

Un mythe plus large

On retrouve le mythe de l'homme se transformant en animal féroce dans d'autres cultures.
Dans le panthéon de l'Égypte ancienne, de nombreux dieux étaient représentés sous la forme d'un hybride, moitié homme et moitié animal.
En Afrique, on connaît la très forte présence de l'homme-léopard, et même de l'homme-chacal et de l'homme-hyène, en Asie de l'homme-tigre, et en Océanie de l'homme-requin.
Le loup est aussi associé à la sexualité, à travers le dicton populaire, non innocent, qui disait à propos d'une jeune fille déflorée qu'elle « a vu le loup ».
L'affaire de la bête du Gévaudan est aussi liée à ce mythe, bien qu'il soit plus ou moins avéré, aujourd'hui, qu'il s'agissait d'un gros chien ou d'un animal ramené d'Afrique, entrainé à traquer et à tuer par son maître, probablement un seigneur pervers ou un de ses valets. On expliquerait son incroyable résistance et son allure étrange par le fait qu'elle aurait porté une cuirasse en peau de sanglier (comme celles des chiens de guerre antique).

Anthropologie

La figure du loup, depuis la plus haute Antiquité jusqu'à nos jours, évoque la fascination de l'homme pour sa face sombre, pour sa cruauté naturelle qui peut revenir lorsqu'il se libère des contraintes que la civilisation lui impose. Le loup-garou fascine par sa force et son audace, il peut être le miroir déformant d'êtres mal à l'aise dans la société et qui ne parviennent pas à se présenter sous leur meilleur aspect. Certains théoriciens de l'école pessimiste anglo-saxonne ont magnifié cette énergie carnassière comme propre à la nature humaine. Dans ses pires moments, "l'homme est un loup pour l'homme" (Hobbes), à tel point qui lui arrive de se dévorer lui-même.





Les loup-garous

30/03/2008 18:39

Les loup-garous


etymologie

Le loup-garou ou lycanthrope est un personnage de légende, vagabond et malfaisant, qui passait pour avoir le pouvoir de se transformer en loup. Le terme « garou » vient du francique werwolf qui signifie déjà « homme-loup » (« wer » représente la même racine que le latin « vir », l'homme). Originellement, wolf voulait aussi dire « voleur ». Dans l'Antiquité, on parlait aussi de versipelles.Collin de Plancy, dans son Dictionnaire infernal, publié en 1818, définit la lycanthropie comme une « maladie qui, dans les siècles où l'on ne voyait partout que démons, sorcelleries et maléfices, troublait l'imagination des cerveaux faibles, au point qu'ils se croyaient métamorphosés en loups-garous, et se conduisaient en conséquence. Les mélancoliques étaient plus que les autres disposés à devenir lycanthropes, c'est-à-dire hommes loups. »

les loup-garous

Les loup-garous , homme ou femme qui se transforme en loup les soirs de pleine lune. S'il ne tue pas leur victime, il la contamine et elle devient elle-même un loup-garou.
Forts comme 10 hommes, ils sont difficiles à abattre au corps à corps.
On ne peut pas vraiment différencier le loup-garou de l'humain, lorsqu'il adopte son apparence humaine. Il mène une vie très semblable à celle d'un humain. Ils ont souvent le même rythme de vie et les mêmes activités (travail, loisir...). le loup-garou n'est pas immortel et possède une espérance de vie comparable à celle des humains. Lors de sa transformation, son corps recouvert de poil prend en général plus de volume. Sa force et certain de ses sens comme l'ouïe ou l'odorat se décuplent. Son influence est très grande pour tous les loups-garous. Elle donne l'énergie et l'espoir. Tous les loups-garous se rallient sous sa lumière, particulièrement lorsqu'elle est pleine. Elle bénéficie d'une sorte de vénération ou du moins de fascination de leur part. Contrairement à ceux que l'on croit souvent, les loups-garous ne se transforment pas uniquement les nuits de pleine Lune, mais ils arrivent à contrôler leur transformation. Ils pourraient le faire en plein jour au besoin. Bien que souffrant de la même répulsion que les vampires pour les choses sacrées et à l'eau bénite, les loups-garous et les vampires se détestent et se livrent à une guerre sans merci.

se débarasser des loup-garous

Une des meilleures façons de se débarrasser d'un loup-garou est de le tuer grâce à une arme en argent.
L'exorcisme restait une des seules façons de chasser l'esprit démoniaque du corps du malheureux maudit et ainsi peut-être sauver sa vie. D'ailleurs il craint tous les objets bénis et sacrés comme l'eau bénite par exemple.
Le feu peut terrasser ou du moins l'effrayer.
La décapitation semble aussi être un moyen redoutable, il ne s'en remettra pas. Pour tout autre membre amputé, une faculté de se régénérer lors de la pleine lune suivante le requinquera.

la lycanthropie

De même selon la légende, les humains loup-garous pouvaient conserver quelques caractéristiques, telles une modification de leur voix et de leurs yeux, des sourcils se rejoignant au-dessus du nez, des ongles légèrement rougeâtres, le majeur un peu plus long, les oreilles implantées un peu plus bas et en arrière de la tête, et de façon générale un peu plus de poils sur les mains, les pieds et dans le dos. En dehors de la légende, les faits historiques concernant la lycanthropie poussent à décrire le lycanthrope comme suit: selon Jean Wier, les malades atteints de lycanthropie sont pâles, ont les yeux enfoncés et la langue fort sèche.

un philtre magique

Mais, à partir du XVe siècle, les légendes, en Scandinavie, en Russie occidentale et en Europe centrale, font état de l'existence de philtres magiques pouvant aider les humains loup-garous à retrouver tout leur aspect humain.





Les Golems

30/03/2008 18:34

Les Golems


Le mot Golem signifie "matière informelle". Le golem est en général dépourvu de voix.
Dans la tradition cabalistique, les grands maîtres de la doctrine secrète étaient censés posséder l'art d'insuffler, à des êtres de terre glaise, une sorte de vie végétative par le seul pouvoir de la parole ou d'un mot. Ce mot est en général gravé sur son front et signifie " vie " ou " vérité " pour le créer et " mort " pour le détruire (Retour à son état originel) . Les Golems sont des créatures fondamentalement magiques faites à partir de matière solide inerte (Terre, métal, verre, même os!). Tout le Golems, excepté les Golems d'os, sont d'un aspect humain. La forme et la taille changent également selon les utilisations envisagées par son créateur.
Cependant, le matériel à partir duquel le Golem est fait peut avoir un certain impact sur la personnalité et le comportement du Golem, ce qui ne peut pas toujours être conforme aux souhaits de son maître. Tout le Golems sont des individus capables de penser: ce qui rend chacun uniques, ce sont les enchantements spécifiques lors de leur création. Les Golems les plus résistants sont en métal.
Les capacités du Golem dépendent de sa taille aussi bien que de sa matière. Plus le Golem est grand, moins il est intelligent. Mais si c'est un spécimen très grand, il pourra également utiliser une puissance bien plus grande, aussi longtemps qu'une telle puissance n'est pas sur une base mentale. Ainsi ils sont idéaux pour le service de garde.
Chaque Golem aura certaines capacités liées à l'élément à partir duquel il est formé. Ainsi la terre rend un Golem très sage et fort, le métal très combattant. La puissance innée du Golem doit être activée par des enchantements supplémentaires pendant sa phase de création, autrement elles ne seront pas disponibles au Golem. Le Golems plus grand ont une plus grande quantité de matière et sont plus à même d'en utiliser la force inhérente. Tout le Golems sont capable de bien voir dans l'obscurité. Les Golems ne sont pas vraiment vivant et ne peuvent être empoisonnés. Les Golems sont beaucoup plus forts que les créatures normales. Leur force supranaturelle signifie également qu'ils sont infatigables. La plupart de Golems peuvent recevoir les messages mentaux de leur maître. Bien que les Golems ressentent la douleur, ils peuvent l'ignorer et sont immunisés contre les chocs.
Ils sont très fidèles à leur maître et ne feront rien à lui nuire de quelque façon. Le Golem restera avec son maître jusqu'à la mort et insensible aux charmes de changement de maître. Quand le maître du Golem meurt, il est libre d'errer le monde car les puissances de magie qui l'anime ne sont pas attachées à la force de la vie de son maître.
Les Golems faits à partir de terre risquent de se dissoudre s'ils entrent dans de grandes quantités d'eau. Ils sont insensibles au feu. Il peut également fusionner avec des objets inertes faits à partir de terre et donc les traverser.
la légende du gollem me rapelle un peu celle de frankeinstein, pas vous ?





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